Khalai marche à l’école. En chemin, elle parle à l’herbe. « S’il-te-plait herbe, deviens plus verte et ne sèche pas. »
Khalai passe vers des fleurs sauvages. « S’il-vous-plait fleurs, continuez à fleurir pour que je puisse vous porter dans mes cheveux. »
Khalai aca ku indabyo zagasozi. “Mbabarira ndabyo, komeza mushibuke (muzane indabyo) mbashyire mu umusatsi wange.”
Khalai passe vers des fleurs sauvages. « S’il-vous-plait fleurs, continuez à fleurir pour que je puisse vous porter dans mes cheveux. »
À l’école, Khalai parle à l’arbre au centre du camp. « S’il-te-plait arbre, fais pousser de grandes branches pour que nous puissions lire sous ton ombre. »
À l’école, Khalai parle à l’arbre au centre du camp. « S’il-te-plait arbre, fais pousser de grandes branches pour que nous puissions lire sous ton ombre. »
Khalai parle à la haie qui entoure son école. « S’il-te-plait, deviens robuste et empêche les personnes méchantes d’entrer. »
Khalai parle à la haie qui entoure son école. « S’il-te-plait, deviens robuste et empêche les personnes méchantes d’entrer. »
Quand Khalai retourne chez elle de l’école, elle visite l’oranger. « Est-ce que tes oranges sont mûres ? » demande Khalai.
Iyo Khalai agarutse murugo kuva kw’ishuli, asura igiti cy’icunga. “Amacunga yawe yari yera?” Khalai arabaza.
Quand Khalai retourne chez elle de l’école, elle visite l’oranger. « Est-ce que tes oranges sont mûres ? » demande Khalai.
« Les oranges sont encore vertes, » soupire Khalai. « Je te verrai demain oranger, » dit Khalai. « Peut-être que demain tu auras une orange mûre pour moi ! »
« Les oranges sont encore vertes, » soupire Khalai. « Je te verrai demain oranger, » dit Khalai. « Peut-être que demain tu auras une orange mûre pour moi ! »