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Simbegwire Simbegwire

Geschrieben von Rukia Nantale

Illustriert von Benjamin Mitchley

Übersetzt von Alexandra Danahy

Gelesen von Monique Bournot-Trites

Sprache Französisch

Niveau Niveau 5

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Autoplay Geschichte


Quand la mère de Simbegwire décéda, Simbegwire fut très triste. Son père essaya de son mieux de prendre soin de sa fille. Lentement, ils apprirent comment se sentir heureux de nouveau, sans la mère de Simbegwire. Chaque matin, ils s’asseyaient et discutaient de la journée à venir. Chaque soir, ils cuisinaient le souper ensemble. Après avoir lavé la vaisselle, le père de Simbegwire l’aidait avec ses devoirs.

Als ihre Mutter starb, war Simbegwire sehr traurig. Simbegwires Vater kümmerte sich so gut er konnte um seine Tochter. Langsam lernten sie, ohne Simbegwires Mutter wieder glücklich zu sein. Jeden Morgen saßen sie zusammen und sprachen über den anstehenden Tag. Jeden Abend bereiteten sie zusammen das Abendessen zu. Nach dem Abwasch half Simbegwires Vater ihr mit den Hausaufgaben.


Un jour, le père de Simbegwire retourna chez eux plus tard que d’habitude. « Où es-tu mon enfant ? » demanda-t-il. Simbegwire se précipita vers son père. Elle s’arrêta en chemin quand elle vit qu’il tenait la main d’une femme. « Je veux te présenter quelqu’un de spécial, mon enfant. Voici Anita, » dit-il en souriant.

Eines Tages kam Simbegwires Vater später als üblich nach Hause. „Wo bist du, mein Kind?“, rief er. Simbegwire lief zu ihm. Sie blieb stehen, als sie sah, dass er die Hand einer Frau hielt. „Ich möchte dir jemand besonderen vorstellen, mein Kind. Das ist Anita“, sagte er lächelnd.


« Bonjour Simbegwire, ton père m’a beaucoup parlé de toi, » dit Anita. Mais elle ne sourit pas et ne serra pas la main de la fille. Le père de Simbegwire était content et excité. Il dit qu’ils allaient vivre ensemble tous les trois et qu’ils auraient une bonne vie. « Mon enfant, j’espère que tu accepteras Anita comme ta mère, » dit-il.

„Hallo Simbegwire, dein Vater hat mir viel von dir erzählt“, sagte Anita. Aber weder lächelte sie, noch nahm sie die Hand des Mädchens. Simbegwires Vater war glücklich und erfreut. Er sprach davon, dass die drei zusammenleben und wie schön ihr Leben dann wäre. „Mein Kind, ich hoffe, du akzeptierst Anita als deine Mutter“, sagte er.


La vie de Simbegwire changea. Elle n’avait plus le temps de s’asseoir avec son père le matin. Anita lui donnait tellement de tâches ménagères qu’elle était trop fatiguée pour faire ses devoirs le soir. Elle allait directement se coucher après le souper. Son seul confort était la couverture colorée que sa mère lui avait faite. Le père de Simbegwire ne semblait pas remarquer que sa fille était malheureuse.

Simbegwires Leben veränderte sich. Sie hatte keine Zeit mehr, um morgens mit ihrem Vater zu sitzen. Anita gab ihr viel Hausarbeit und abends war sie zu müde von der Schule. Sie ging nach dem Abendessen direkt ins Bett. Der einzige Trost war die bunte Decke, die sie von ihrer Mutter hatte. Simbegwires Vater schien nicht zu bemerken, dass seine Tochter unglücklich war.


Après quelques mois, le père de Simbegwire annonça qu’il serait parti pour un certain temps. « Je dois voyager pour mon travail, » dit-il. « Mais je sais que vous allez vous occuper l’une de l’autre. » Le visage de Simbegwire s’allongea, mais son père ne le remarqua pas. Anita ne dit rien. Elle n’était pas contente non plus.

Nach ein paar Monaten, teilte Simbegwires Vater ihnen mit, dass er eine Weile nicht zu Hause sein würde. „Ich muss von meiner Arbeit aus verreisen“, sagte er. „Aber ich weiß, dass ihr auf euch gegenseitig aufpasst.“ Simbegwire schaute betrübt, aber ihr Vater bemerkte es nicht. Anita sagte nichts. Auch sie war nicht glücklich.


Les choses s’empirèrent pour Simbegwire. Si elle ne terminait pas ses tâches, ou si elle se plaignait, Anita la frappait. Et pendant le souper, la femme mangeait la plupart de la nourriture, laissant Simbegwire avec peu de restes. Chaque nuit Simbegwire s’endormait en pleurant, embrassant la couverture de sa mère.

Es wurde schlimmer für Simbegwire. Wenn sie ihre Aufgaben nicht erledigte oder sie sich beschwerte, schlug Anita sie. Und beim Abendessen aß die Frau das meiste Essen, sodass für Simbegwire nur einige Reste übrig blieben. Jeden Abend weinte sich Simbegwire mit der Decke ihrer Mutter im Arm in den Schlaf.


Un matin, Simbegwire se leva en retard. « Paresseuse ! » cria Anita. Elle tira Simbegwire de son lit. La couverture précieuse resta accrochée sur un clou et se déchira en deux.

Eines Morgens stand Simbegwire zu spät auf. „Du faules Mädchen!“, rief Anita. Sie zog Simbegwire aus dem Bett. Die Lieblingsdecke blieb an einem Nagel hängen und riss entzwei.


Simbegwire était très bouleversée. Elle décida de se sauver de chez elle. Elle prit les morceaux de couverture de sa mère, emporta de la nourriture et quitta la maison. Elle suivit le chemin que son père avait pris.

Simbegwire war sehr verärgert. Sie beschloss, von zu Hause wegzulaufen. Sie nahm die zerrissene Decke ihrer Mutter, packte etwas zu essen ein und verließ das Haus. Sie lief den Weg entlang, den ihr Vater genommen hatte.


Quand le soir arriva, elle grimpa dans un arbre près d’un ruisseau et se fit un lit dans les branches. En s’endormant, elle chanta, « Maman, maman, maman, tu m’as quittée. Tu m’as quittée et tu n’es jamais revenue. Papa ne m’aime plus. Maman, quand reviens-tu ? Tu m’as quittée. »

Als es Abend wurde kletterte sie auf einen hohen Baum nahe des Flusses und machte sich ein Bett in den Ästen. Zum Einschlafen sang sie: „Maama, Maama, Maama, du hast mich verlassen. Du hast mich verlassen und bist nie zurückgekommen. Vater liebt mich nicht mehr. Mutter, wann kommst du zurück? Du hast mich verlassen.“


Le lendemain matin, Simbegwire chanta encore la chanson. Quand les femmes arrivèrent au ruisseau pour laver leur linge, elles entendirent la chanson triste qui venait du grand arbre. Elles pensaient que c’était seulement le bruissement des feuilles et continuèrent leur travail. Mais une des femmes écouta la chanson attentivement.

Am nächsten Morgen sang Simbegwire wieder das Lieb. Als die Frauen zum Fluss kamen, um ihre Kleidung zu waschen, hörten sie das traurige Lied aus dem großen Baum kommen. Sie dachten, es sei nur der Wind, der in den Blättern raschelte und setzten ihre Arbeit fort. Aber eine der Frauen hörte dem Lied ganz genau zu.


Cette femme jeta un coup d’œil dans l’arbre. Quand elle vit la fille et les morceaux de couverture colorés, elle cria, « Simbegwire, l’enfant de mon frère ! » Les autres femmes s’arrêtèrent de laver et aidèrent Simbegwire à descendre de l’arbre. Sa tante l’embrassa et essaya de la réconforter.

Die Frau schaute hinauf in den Baum. Als sie das Mädchen und Teile der bunten Decke sah, rief sie „Simbegwire, das Kind meines Bruders!“ Die anderen Frauen unterbrachen das Waschen und halfen Simbegwire, den Baum hinunter zu klettern. Ihre Tante umarmte das kleine Mädchen und versuchte, es zu trösten.


La tante de Simbegwire l’emmena chez elle. Elle donna à Simbegwire un repas chaud et la borda dans son lit avec la couverture de sa mère. Ce soir-là, Simbegwire s’endormit en pleurant. Mais ses larmes étaient des larmes de joie. Elle savait que sa tante prendrait soin d’elle.

Simbegwires Tante nahm das Kind mit zu sich nach Hause. Sie gab Simbegwire eine warme Mahlzeit und deckte sie im Bett mit der Decke ihrer Mutter zu. In dieser Nacht weinte sich Simbegwire in den Schlaf, aber es waren Tränen der Erleichterung. Sie wusste, ihre Tante würde sich um sie kümmern.


Quand le père de Simbegwire rentra chez lui, il trouva la chambre de sa fille vide. « Qu’est-ce qui est arrivé, Anita ? » demanda-t-il, le cœur gros. La femme expliqua que Simbegwire s’était sauvée. « Je voulais qu’elle me respecte, » dit-elle. « Mais j’ai peut-être été trop sévère. » Le père de Simbegwire quitta la maison et se dirigea dans la direction du ruisseau. Il se rendit au village de sa sœur pour découvrir si elle avait vu Simbegwire.

Als Simbegwires Vater nach Hause kam, fand er ein leeres Zimmer vor. „Was ist passiert, Anita?“ fragte er traurig. Die Frau erklärte, dass Simbegwire weggelaufen war. „Ich wollte, dass sie mich respektiert“, sagte sie, „aber vielleicht war ich zu streng.“ Simbegwires Vater ging hinaus und lief in Richtung Fluss. Er lief zum Dorf seiner Schwester, um herauszufinden, ob sie Simbegwire gesehen hatte.


Simbegwire jouait avec ses cousins quand elle vit son père de loin. Elle avait peur qu’il soit peut-être fâché, alors elle se précipita à l’intérieur de la maison pour se cacher. Mais son père vint la voir et lui dit, « Simbegwire, tu t’es trouvé une mère parfaite. Une mère qui t’aime et te comprend. Je suis fier de toi et je t’aime. » Ils se mirent d’accord que Simbegwire resterait avec sa tante aussi longtemps qu’elle le voudrait.

Simbegwire spielte mit ihren Cousins als sie ihren Vater von weit weg kommen sah. Sie hatte Angst, dass er wütend sein könnte, also lief sie ins Haus, um sich zu verstecken. Aber ihr Vater sagte: „Simbegwire, du hast dir selbst eine perfekt Mutter gesucht. Eine, die dich liebt und versteht. Ich bin stolz auf dich und ich liebe dich.“ Sie vereinbarten, dass Simbegwire so lange bei ihrer Tante bleiben würde, wie sie möchte.


Son père lui rendit visite chaque jour. Finalement, il vint avec Anita. Elle tendit la main vers celle de Simbegwire. « Je suis tellement désolée, petite, j’ai eu tort, » sansanglota-t-elle. « Me laisseras-tu essayer de nouveau ? » Simbegwire examina son père et son regard inquiet. Puis elle fit lentement un pas en avant et mit ses bras autour d’Anita.

Ihr Vater kam jeden Tag zu Besuch. Irgendwann kam er zusammen mit Anita. Sie nahm Simbegwires Hand. „Es tut mir so leid, Kleine, es war mein Fehler“, weinte sie. „Kannst du mir noch eine Chance geben?“ Simbegwire sah ihren besorgten Vater an. Dann machte sie einen Schritt auf Anita zu und legte ihren Arm um sie.


La semaine suivante, Anita invita Simbegwire, ainsi que ses cousins et sa tante, chez elle pour un repas. Quel festin ! Anita prépara tous les plats favoris de Simbegwire et tous mangèrent jusqu’à temps qu’ils soient repus. Ensuite, les enfants jouèrent tandis que les adultes parlaient. Simbegwire se sentait contente et courageuse. Elle décida que bientôt, très bientôt, elle retournerait chez elle pour vivre avec son père et sa belle-mère.

In der Woche danach lud Anita Simbegwire mit ihren Cousins und der Tante zum Essen ein. Was für ein Fest! Anita kochte Simbegwires Lieblingsessen und alle aßen, bis sie satt waren. Dann spielten die Kinder, während die Erwachsenen sich unterhielten. Simbegwire war glücklich und tapfer. Sie beschloss, dass sie bald, sehr bald, zurück nach Hause kommen würde, um bei ihrem Vater und ihrer Stiefmutter zu wohnen.


Geschrieben von: Rukia Nantale
Illustriert von: Benjamin Mitchley
Übersetzt von: Alexandra Danahy
Gelesen von: Monique Bournot-Trites
Sprache: Französisch
Niveau: Niveau 5
Quelle: Simbegwire aus African Storybook
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Dieses Werk ist unter einer Creative Commons Namensnennung 3.0 Lizenz lizenziert.
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